Abstract
(VF)Selon les règles comptables françaises, les sociétés ont la possibilité de « capitaliser » leurs frais de R&D sous certaines conditions. En analysant les rapports annuels 2000 des sociétés non financières appartenant à lindice SBF 250, nous avons tenté de comprendre pourquoi certaines sociétés françaises utilisent cette possibilité. Nos résultats montrent que les sociétés qui « capitalisent » la R&D sont celles qui sont les plus « risquées », cest-à-dire qui appartiennent au secteur de la haute technologie ou ont un coefficient bêta plus élevé.(VA) According to French accounting standards, companies have the possibility to capitalize their R&D expenses under certain conditions. By analyzing the annual reports of non-financial companies listed on the Paris stock exchange and included in the SBF250 index (annual reports 2000), we try to identify which firm characteristics can help predict this accounting choice. Our results provide evidence that companies capitalizing R&D are those belonging to hi-tech industries or having a high beta.
Original language | English |
---|---|
Pages (from-to) | 87-106 |
Journal | Revue Finance Contrôle Stratégie |
Volume | 7 |
Issue number | 4 |
Publication status | Published - 2004 |
Keywords
- France
- R&D
- analyse factorielle
- capitalisation
- capitalization
- factor analysis
- immatériels
- intangibles
- logistic regression
- régression logistique